Why are you speaking in codes? What "complex conjugate"? All the numbers are real here.
For someone who likes to rely on exact math in his arguments, you sure know how to be vague...
The same discussion but on French Language...
Quoted:
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Est-ce qu'un référentiel est nécessairement quelque chose de matériel ?
Bon si on recommençait, dis-moi où est-ce que'il y a une aberration mathématique...
Soit R un référentiel au repos (celui du laboratoire). R' le référentiel en mouvement, les transformations de Lorentz donnents :
x'=(x-vt)/sqrt(1-v²/c²)
t'=(t-vx/c²)/sqrt(1-v²/c²)
On a pris pour convention : O et O' coïncide à l'instant t=t'=0. Je m'intéresse de près au mouvement de point O' se déplaçant à la vitesse de la lumière, on a évidemment : x=ct, si on remplace dans l'expression on an :
x'=(ct-ct)/sqrt(1-c²/c²)=0/0 indétermination
t'=(t-cct/c²)/sqrt(1-v²/c²)=0/0 indétermination.
Bon là on sait bien que O' est en x'=0 non ? (j'aimerais que tu surmonte ton blocage, la physique n'est pas limitée qu'aux maths).
Pour moi il est possible de faire un prolongement par continuité.
-snip-
J'ai pas le temps de faire les calculs, je vulgarise juste un peu...
Pour l'article d'Alcubierre, on étudie la possibilité qu'un vaisseau puisse voyager, entre deux points A et B séparé d'une distance D, avec une durée inférieure à D/c dans le temps des observateurs au repos. (Pour le temps du vaisseau c'est connu, c'est la dilatation des durées).
On peut se dire que ce n'est pas possible puisque la théorie de la relativité restreinte n'autorise tout simplement pas des vitesses supérieures à c. Mais le monde physique est bien gouverné par la théorie de la relativité générale, où grâce au principe d'équivalence, la théorie de la relativité restreinte est valable localement. Il est important de comprendre cette notion de localité. L'aritcle d'Alcubierre dit donc que le vaisseau spatial est quasi-immobile dans son propre référentiel, mais une contraction de l'espace-temps à l'avant du vaisseau, et une dilation à l'arrière provoque une vitesse qui peut excéder la vitesse de la lumière, mais localement la relativité restreinte n'est pas violée.
Pour comprendre exactement de quoi il en retourne, il est important de se baser sur les modèles inflationnistes du big bang standard. Je rappelle simplement de quoi il en retourne : quand on observe des régions opposées de nous, distante d'environ 13 milliards d'année lumière, nous remarquons que ces régions sont à la même température, d'ailleurs le plus frappant est : quelque soit la direction vers laquelle on se tourne, le rayonnement fossile est exactement à la même température, à des fluctuations de quelques pourcents près. Or ceci est incompréhensible puisque ces régions n'ont jamais été en contact (distantes de plus de 13 milliards d'années lumière, donc ils n'ont jamais pû échanger un seul photon), et donc a fortiori homogénéiser leur tempéraure. On peut se dire que c'est une énorme coïncidence, mais ce n'est pas satisfaisant comme explication.
Pour expliquer ces observations, les astrophysiciens ont inventé un mécanisme qui a l'air fou, mais qui est conforme à la théorie de la relativité générale : les modèles inflationnistes. Pour commencer, lors du big bang, l'univers était très petit et homogène (ce qui veut dire que toutes les régions peuvent homogénéiser leur température), gouverné par une seule force unique. En se dilatant, l'univers se refroidit et les forces commencent à se séparer par le mécanisme de rupture spontanée de symétrie. Lorsque la gravitation s'est séparée des autres forces, il s'est produit un phénomène appelé inflation, où la taille de l'univers a augmenté très très vite, l'expansion a dépassé la vitesse de la lumière, même si les autres corps présents à ce moment avait uen vitesse locale très faible. Il faut comprendre que c'est l'espace qui s'est dilatée très vite, et non les corps qui ont bougé vite. Donc à ce moment, les régions se sont perdues de vu, et lorsque cette expansion faramineuse s'est terminée, la lumière peut alors reconnectée ces régions.
L'article d'Alcubierre se base donc sur une dilatation de l'espace temps comme dans les modèles inflationnistes totu en gardant des vitesses locales très faibles. Dans la suite de l'article, Alcubierre étudie une certaine métrique de l'espace-temps qui permet ce type de voyage. Les caractéristiqeus de la métrique sont :
* espace-temps loin du vaisseau complètement plat
* au voisinage, il y a une bulle
* le vaisseau est en chute libre, grosso modo il ne subit pas de dilatation du temps, 5 secondes passées dans le vaisseau = 5 secondes pour A ou B au repos.
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